Genre très prolifique depuis « Le monde perdu » (1925), le film de dinosaures a surtout fait le bonheur des fans dans le cinéma américain des années 50 et 60. Cinéma d’effets spéciaux par excellence, le genre a pu faire exploser le talent des maquilleurs ou animateurs, comme Ray Harryhausen.
La vague du film de jungle, quant à elle, était un peu antérieure, mais non moins prolifique. Les années 40 ont vu fleurir une flopée de métrages exotiques, de safaris sauvages en décors de studios, donnant le meilleur rôle à nos amis les Gorilles.