Dès la fin des années 50, avec les premiers succès de la Hammer (Dracula, Frankenstein…), des productions concurrentes se consacrent au genre horrifique (Amicus, Tigon, Tyburn…) et donnent naissance à l’Âge d’or de l’épouvante anglo-saxonne. Penchant anglais du Gothique à l’Italienne, la British Horror adapte les grands auteurs comme Stoker, Shelley, Polidori, Radcliffe, Lewis ou Walpole, reflétant les angoisses de l’Angleterre Victorienne, et introduisant – déjà – l’érotisme dans le fantastique.