Avec les succès de « Salo », de Pasolini, « Portier de nuit », de Cavani, et surtout « Salon Kitty », de Tinto Brass, le cinéma Bis va connaître son genre le plus sulfureux, lointainement inspirés par quelques bandes d’exploitation américaines des 50’s. A la trilogie canadienne des « Ilsa », l’Italie répond avec une douzaine de films mettant en scène des prisonnières toutes aussi belles et fragiles face à la cruauté de leurs geôliers nazis. La France ne sera pas en reste avec une poignée de films produits par la firme Eurociné.